Un concert de stoner, de rock, de surf, de métal est un lieu, un espace en dehors du temps. Partager une bière avec des amis, des inconnus en profitant d'un sentiment d'appartenance à un même groupe est une soupape nécessaire.

Le jeu vidéo, loin des préjugés, est un média puissant favorisant le développement personnel. Il participe à forger des compétences essentielles : un RTS comme Rome 2 Total War, par exemple, aiguisera le planning stratégique, le choix de l'allocation des ressources. Un FPS du type Insurgency, la rapidité d'exécution, l'esprit d'équipe et l'adaptabilité. La série XCOM par contre c'est du masochisme pur.

Rush est un jeu de type "Time Attack" : le joueur doit effectuer un parcours en réalisant le plus petit temps possible. Dans Rush, cela signifie réaliser le score le plus proche de Zéro.

J’ai rencontré ce mode de jeu dans les First Person Shooters. C’était un passage obligé pour connaitre les environnements, les trajectoires les plus courtes, les points d’intérêt (de snipe, d’embuscade, etc.) et aucun joueur ne pouvait prétendre connaître son jeu sans avoir passé un minimum de temps à retenir la majorité des chemins.

À cela, j’ai ajouté une composante assez présente dans les jeux plus anciens (deux en particulier m’ont marqué : Ghouls’n’Ghosts et mon tout premier jeu, Bubsy sur Megadrive) : le principe du Die‑And‑Retry. L’idée sous-jacente est que le joueur apprenne de ses erreurs et les mette à profit, la mort devenant indispensable pour connaître le chemin optimal. Chemin optimal qui vient s’inscrire dans la recherche du High Score : plus je vais vite, moins les points ont le temps de descendre, plus j’ai de chances de faire un joli score.

Enfin, la pause c’est pour les faibles : on commence, on finit ou on meurt.